Vous n'êtes pas identifié(e).
Pages : 1
Même exercice que pour la Coupe du monde, pour voir un peu ce qui se joue dans l'antichambre, et aussi ce que nous réservent les saisons futures, puisque ce sont souvent les espoirs qui font tourner ce niveau (même si de moins en moins ces dernières années avec la densification du haut niveau).
Vous pouvez voir que la France domine chez les hommes, notamment avec Émilien et Antonin, que la Russie domine chez les femmes et en mixte, comme toujours, et comme toujours la Russie peine à traduire ça en athlètes capables de rivaliser au long cours sur le circuit Coupe du monde.
Surtout, on voit que le Fab Four est exactement le même, que la hiérarchie globale du niveau supérieur est respectée, qu'en somme il n'y a pas à proprement parler de nation montante en vue. Tout au plus peut-on remarquer l'absence des États-Unis, mais c'est plus un choix budgétaire je pense, et le fait que la Chine semble avoir un réservoir de biathlètes femmes, à voir si elles vont monter sur la CdM un de ces quatre.
Le biathlon est un sport simple : des athlètes alternent ski de fond et tir à la carabine et à la fin, c'est Martin Fourcade qui gagne.
JO 2018 : Or sprints H/F et départ groupé F
Hors ligne
Pages : 1